vendredi 16 novembre 2007

Que fais-je ?


Dans la vie, nous aimerions tous savoir ce qu’il faut faire pour être heureux. Pour moi, le mot « faire » résume simplement la voie professionnelle que l’on à choisi de suivre pour être relativement heureux dans notre vie. Malheureusement, je ne vois aucun salut dans une quelconque carrière, alors le choix de mon métier n’est pour moi qu’un moyen de vivre ou survivre dans ce monde matériel, parce que l’on à pas d’autre choix, si toute fois l’on parle d’un choix doué de raison…

Dans la vie, je fais du service, service comme serveur, parce que les gens aiment parfois se faire plaisirs et manger quelque chose de bon au restaurant. Mais il y eu peu me revenu une ambition dont j’étais le seul à y croire, devenir para dans l’armée… Les sélections passées me voici lancé dans une épopée en ayant accès à l’instruction des commandos para, je m’étais intimement convaincu que j’irais jusqu’au bout, me mentant à moi-même chaque jours, et pourtant…

Et pourtant dès les premiers jours j’en avais mal au dos, en cause n’était pas mon sac à dos mais plutôt le poids moral de la contrainte et l’appréhension d’un avenir de servitude au nom d’une patrie, que j’aime malgré tout mais pour qui je ne donnerais pas ma vie.
Je ne suis pas un soldat qui fais la guerre pour la paix mais un guerrier qui fais de la paix sa quête. Tuer pour survivre, apprendre à devenir un tueur pour défendre son pays, je n’ai pas eu à aller jusque la pour avoir l’impression de faire reculer le monde. J’avais le sentiment immonde de me perdre moi-même dans des convictions qui n’était pas les miennes.

Alors je suis parti, avec certes des regrets, mais pas celui de ne pas avoir essayé.

Voulais-je vraiment devenir un Rambo ? C’était ça, se mentir à sois-même.


mercredi 14 novembre 2007

Qui suis-je?

J'ai 23 ans, je ne sais pas vraiment qui je suis. Je me contenterais bien de me dire simplement "je suis" mais je crois surtout que je suis perdu entre deux mondes.

Je suis atteind d'une maladie qu'on appel mélancolie, malgrès des années noires sans éspoir je lui dis merci car c'est elle qui ma pousser à sortire du noir histoire d'y voir un peu plus claire.

Aujourd'hui je ne sais pas mieux qui je suis si ce n'est ce que je ne suis pas, mais j'ai appris à apporter un peu de lumière dans ma vie graçe à la lecture et à la recherche, ne me demandez pas ce que je cherche car si je le savais je l'aurais trouvé.

Je coure après la vérité, je fais de ma vie ma quète, ma quète spirituel comme on dit vulgairement, malheureusement celle ci s'alimente au moin par la volonté, mais j'ai plus tendence à etre avachi par une tenacité blessé, titubant dans les méandre de la société...



Tantôt conscient et discocié d'un monde étiqueté de toute part, tantôt inconscient et sbire d'un mécanisme mentale, sociale, conssomable, je divague le plus souvant entre ces deux mondes, si l'on peut dire, car l'un en est un, mais l'autre n'en est pas un, il "est", c'est tout...