dimanche 14 mars 2010

Cambodge, mars 2010.

Voila, je suis au cambodge, tout se deroule comme prevu, apres 8h de bus et une longue attente dans une cabane delabre qui sert de douane cambodgiene, j’arrive a mon hotel a Siem Reap. Sur la route, des riseres asssaches, des gens pieds nud couvert de crasse qui poussent leur charettes faisant dix fois leur poids, des enfants, parfois nue, mendiant inlassablement.

Mon hotel est plutot propre, meme si rien ne fonctionne et qu’il n’y a pas de papiers toilette je n’ai pas a me pleindre. Le “chef” des tuc tucs et du buisness touchant a l’hotel m’aborde tres gentilment, souriant, pour me proposer un tuc tuc pour trois jours de visite, des temples et “alentours”, a un prix qui me parait exessif, mais il se justifi avec un tas de mensonges que je comprendrais plus tard. Je cede naivement pour me rendre compte un jour apres que j’ai paye le triple. Premiere arnaque. En fait, passons les arnaques, car meme s’il y en a eu tout le long de mon sejour au cambodges, et qu’elle m’on profondement degoute des cambodgiens, ce serais dommage de ne retenire que ca d’un si beau voyage. Mais! Vraiment, j’en suis encore enerve! Des arnaques, ou on prend vraiement les etrangers pour des cons, et on ne peut souvant pas y echapper! Brrrr

Relativisons! Je suis donc en “banlieu” de Siem Reap ou batiments neuf coloniaux se melent aux bidonsvilles et a la pauvrete omnipresente. Je sort me balader a pied a la tombee du jours, pour gambader dans ces rues ou les gravas et le sable font office de goudron. Tien, ca grouille de vie rue la, peur au ventre mais pas peur quandmeme je m’y engouffre. Pas un blanc, les gens me regarde avec curiosite, certain me sourient, comme a certains endroits en thailande. Sauf qu’ici, il n’y a presque pas d’adulte, que des jeunes adultes et des enfants, craseux et souvant pied nue, dans la poussiere et la puanteure. Dans ce marche ou je suis en plein choc, on y trouve poisson avec asticots et mouches, viande avec asticots et mouches sur laquel marchent les vendeurs acroupie, des coquillages, qui ont passe la journe au soleil, et un tas de nourriture douteuse. Un vendeur, remarquant les grand yeux que je fais, me tend une dorade de ses mains noires avec un grand rire, je refuse en lui rendant un sourire. Ha, et j’allais oublier les bon boles de cafards, rien que l’odeure vous prend au coeur, mais ils degustes ca comme des frites...

Je tente la discussion avec les quelques rare cambodgiens qui parlent anglais que je rencontre, mais c’est difficile... Les discoures sont vides et mennent toujours a une reclamation d’argent. Des que l’on donne pas ou pas asser, j’entend par la pour des tips demande a tord et a travers dans n’importe quel circonstance, l’individu se braque et fais tout bonnement la tete, et s’il on donne ils harcelle presque pour avoir plus toujours plus. Comme les enfants qui vous suivent pendant des centaines de mettres au temples d’Angkor pour vous vendre leur babioles. Achetez leur quelque chose et deux fois plus d’entre eux rapliquent! Ca fais mal au coeur de les voire ainsi mais ils sont parfois peu supportable. Cependant il est facile de plaisanter avec eux et certains sont plutot amusants.
Les temples d’Angkor! Pour les avoirs visite sans guide je ne connais finallement pas leur histoires si ce n’est qu’ils on ete contruit par les rois khmer a l’efigie de la culture bouddhiste et d’anciennes religions. Ces lieux sont d’une beaute sans nom, remplie d’une ambiance legerement mystique, souvant partiellement detruit par le temps, certain temples sont enlaces de racines et d’arbres gigantesques, ou les bouddha a quatres visages ont toujours un oeil sur nous. Les deux nuits suivant mes deux jours de visite aux temples furent terrifiantes; reves marquants, reves lucides et cauchemares eveilles, ces derniers furent les plus violant qui me soit arrives. Un concentre viscerale surgit du fin fond de mon inconscient est venu percuter violament mon esprit au cours de ces deux nuits, pour enfin repartire au fond. De simples reves? Juste un hazard? Peu etre.

Ce que je retiend du cambodge, c’est la pauvrete, la pauvrete et encore la pauvrete d’un pays qui sort fraichement de la guerre. Un pays qui renais de ces cendres, ou la moitier de la population fut assassine et parfois torture par les khmer rouges, dont tout les grands penseurs. Un pays qui n’a presque plus de culture, de pensees, de valeures. Un pays ou la casi totalite de la population vie avec moin d’un dollar par jour. L’esperance de vie y est de 52 ans. Je ne comprend pas pourquoi les choses avance si peu avec ce que prend le gouvernement aux touristes.

Ce qui est sur c’est que le cambodge fut un vrais choc pour moi, et que pour le moment j’ai du mal a m’endormire sans avoire l’images de tout ces enfants en pleines rues qui travailent comme des hommes et mendie dans l’ignorance la plus totale. J’espere que le temps ne m’effacera pas cette experience de la tete qu’ainsi je puisse garder une vision des futilitees de la vie plus objective, en un mot, ne plus me pleindre...










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