dimanche 7 mars 2010

Une journee a bangkok, et les precedent en thailande.

Je marche, le long d’un petit canal a bangkok, sur lequel flotte quelques dechets et un peu de mousse stagnante. Alors que je m’imaginais le degout que ce serais de tomber dedant, non loin de moi un homme se lave dans ce meme canal sur des escalier tombant dans ce vert opaque. Aujourd’hui je suis en quete de Chinatown, quartier chinois et indien de bangkok, pour trouver un nouvel apareil photo ou faire reparer l’actuel. Apres avoir tente de negocier tuc tucs et taxis pour ce fameu quartier, je continue ma route a pieds, ces derniers n’ayant pas voulu me mener a bon port pour cause de “trafic jam”, ou alors je devais alonger autant de baths que pour aller au cambodge. “trafic jam” Mon cul. Le hazard faisant bien les choses mes pieds m’egarairent dans de tristent quartiers de bangkok ou vieux batiment colonial crasseux et delabres s’entremelaient aux trotoires putrident, aux vieux mendiant unijambiste et vendeurs d’abats de poissons seche et feconde par l’efervescance de mouches omnipresente. Rien de tel pour me rappeler la futilite de mes compleintes quelques mois auparavant, si niais nous somme, une pharentaise qui meriterais tout un roman. Je continu ma marche, sur d’etre dans la bonne direction apres avoir ete aide par un thai/chinois, et qui a mon grand etonnement ne ma pas propose de tuctuc ou de boumboum chez son cousin le macro. Je slalome lentement entre moines vetue de robe orange et vieux grandpere thai observant avec minutie biblos, amulletes et radios reparees de ce petit marche au allure de vide grenier le long d’une ruelle tranquille ou quelques chats et chiens des rues titubent, et j’observe, avec le sourire, qu’il ny a aucun touriste, aucun blanc, ni aucun rabatteur de tuc tuc ou prostituees. Seul quelques rares locaux me devisagent, avec le sourire, que je leur rend volontier.
Je marche et marche encore, sous cette chaleur opressante, a vrais dire le probleme , n’est pas la chaleure, mais la forte humiditee ambiante qui amplifie cette sensation de chaleure, avec comme assaisonnement la pollution, cette derniere est inimaginable, Paris, c’est de la crotte de chat a cote.
Bangkok, c’est tout de meme 10 millions d’habitants, et 90% des vehicules du royaume. Construite sur des terres irrigue de cannaux de toute part et la ville s’etant afaisse de deux metres en 10 ans, cette megalopole est une des apogee des villes en sursie. Je vous laisse imaginer.

Chinatown. Comme son nom l’indique, il n’y a plus seulement des thais, mais des chinois, et aussi des pakistanais, indous et bien d’autres. Je m’egare dans une rue etroite et sans ciel ou les gens s’entremelent et s’ecrasent, les cuisinent de rue tant epice me font pire effet qu’un spray anti personel! Les larmes aux yeux et toussant je trouve enfin la fin du dedale etroit de cette foire aux bijoux, tissu et cuisine improvisee, pour tomber dans un autre dedale, plus large celui ci, aux centaines d’etales et magasin hifi tous se faisant concurance du meilleur ampli et haut parleur, avec leur kilometres de cables, connection en or, membranes de rechanges et j’en passe. J’appreci la maniere dont il chauffent leur amplis et ne font pas croustiller leur enceintes! Une fourmiliere de connaisseur grouille ici et malheuresement aucun ne parle anglais, s’en suit une bonne heure de marche dans les mehendre de chinatown sans succes, rien ne touchant de pres ou de loin aux appareils photos, je rebrousse chemin a Khao San Road. Sur le retour, je constate stupefais que l’on trouve dans certaines rues des armes a feux de gros calibres derrieres les vitrines, revolver, fusil a pompe et armes automatiques, et tout leur accesoires sur des etalages a meme la rue!

Khao San Road et ses environs. Des milliers de petit drapeaux colores fretillent attaches a leur ficelle au dessus des rues pleines de touriste obsevant les etales de vetements, nouritures parfois douteuse, magasin de costumes italiens, salon de massage, vendeuses de grigri et etales de faux papiers. La nuit tombe et je trouve enfin mon bonheur, un magazin pouvant reparer mon appareil numerique, pour 2000 baths tout de meme (1000 baths=25 euros), je laisse mon appareil et leur fait confiance.
Tuc tuc, rabateurs de dressing shop et de prostituees m’abordent tout les 10 metres jusqu’a mon hotel, mais je commence a etre habitue. Les tuc tuc, je laisse tomber, ma premiere course en tuc tuc fut un mauvais souvenire, petite embrouille avec le chauffeur, ces mec sont des menteurs et arnaqueurs comme tout le petit cercle mafieux qui profite bien des touristes.
Lors de mes premiers jours a bangkok j’avais sympatise avec un thailandais, le responsable du petit resto de l’hotel ou j’etais. Le troisieme jour, apres avoir refuse gentiment ses proposision de drogue, viagra et prostituee, et quelques plaisanteries, il se laisse a repondre a mes questions. Biensur elle sont heureuses me dit il... J’ai comme un doute! Il m’explique qu’un tiers de l’argent va pour la lady, un tiers est pour le “boss” et un tier est pour la police, lui et ses potes touche tips et comission selon les services, j’imagine que le system est le meme pour la drogues etc... Il suffi de ne rien avoir a faire et d’etre attentif pour voir a la nuit tomber les liasses de billets passer de main en main.


Kho Chang
Deuxieme plus grande ile de thailande, au sud est pres du cambodge.
Sur l’alle, je rencontre Remi et Aurelie, un couple de francais un peu plus vieux que moi, avec qui je vais passer 3 superbe journees a koh chang. L’ile est magnifique, plus que magnifique, domine par une montagne recouverte de jungle et entouree de plages de sable blanc et cocotiers. Malheuresement les cotes sont partielement saccagees par la construction barbare de route, d’hotel de mauvais gouts, de bungalows clones, d’evacuations des eaux usee azardeuse et d’infrastructures electrique anarchique.
Nous avons explore l’ile et ses coins sauvages en moto de locations, ainsi qu’un petit bout de jungle a pied, longeant une riviere asseche pour ne pas prendre de risque. Le guide du routard nous annonce qu’il y a dans cette jungle pitons, cobras royales, singes, araignees mardalas et compagnie, mais nous n’y avons vue que de petits annimaux, nous etions sans doute pas asser discret, et tanmieux, parce qu’une morsure de cobra c’est peut etre pas tres bon pour la santee!
Notre guesthouse etait composee de petit bungalows fait de planche dans la falaise surplombant la mer, dans un bout de jungle. Deco hippie et psychadelique, totem et peinture du monde caricaturale, les escalier raide et hasardeux etaient un vrais lymbirinthe pour acceder a nos cabane.
Salle de bain robinson avec douchette ecossaise, et grace aux fourmis, grenouilles et geckos vous n’ete jamais seul pour vous laver!
Apres le depart de Remi et Aurelie je tourne en rond et m’ennui, j’etait si content qu’il aient partages leur temps avec moi! Sur un guide qu’ils m’on offert, Remi m’a ecrit “ En voyage, ce qui compte, ce n’est pas l’endroit mais les rencontre que tu y feras”, pas faux... c’est peut etre pour ca que je m’ennui sauvagement ou que j’aille. Solitaire ennuye de la solitude, mais les gens avec qui je suis bien sont perles rare!

Mille merci a eux et j’espere qu’ils ne m’en voudrons pas d’avoir publie leur photos de kho chang sur facebook!






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