vendredi 11 décembre 2009

Nouvelle Zélande - Christchruch le 12-12-09

Le voyage était aussi long et pénible que prévu, avec 26H de vol au total, 3 escales (Dubai, Bangkok, Sydney), 4 entrées/sortie de douane de 2-3H chacune, bref un sacré baptême de l'air!

Malgrès que rien n'était en français, je ne me suis pas perdu, et j'ai apprécié de voir a quoi ressemblais les déserts arabes et le climat de thailande. L'aéroport de Dubai est incroyablement énorme, 20 min de bus rien que pour aller de l'avion au terminal!

Arrivé à Christchurch (400 000 habitants), je trouve un bus au pifomètre pour le centre ville et découvre l'accent tordant des néo-zélandais, ça fais très campagnard je trouve, l'équivalent chti ou morvandio de chez nous, mais la plupar mâches leur mots et parles trop vite et j'ai vraiment du mal à comprendre, je fais répéter toujours une ou deux fois et parfois en vain, mais j'apprend assez vite, enfin relativement.

Je suis surpris par l'architecture des bâtiments et maisons, en centre cille les immeubles sont magnifique, dans un style british moderne avec de jolies toitures, les routes sont très larges et toutes géométriques, il y a de l'espace, et beaucoup d'espaces vert aussi, des parcs, et un gigentesque jardin botaniques presque aussi grand que le centre cille, avec des arbres démesurée du monde entier et des rivières. Les maisons elle sont plutot pourris, toutes de plein pied en préfabriqué avec des toits en tôle, très souvent délabré, les neo zelandais n'on pas trop l'air d'aimer la peintures. Les quartier résidentiel ressemble beaucoup à ce que l'on voit dans les film américain.

Les voitures ! Plus de 90% de marques asiatiques (toutes japonaises?), 80% de boites automatique, surment autant de % de moteur essence (en fais je n'ai pas encore vue de diesel), quasiment que des grosse cylindrées, j'en connais qui serais content! Il y a des garages « spécial backpackers » qui achètes et vendes des vielles voiture adapté pour les routards, ils s'occupes de tout et c'est pas cher, et en plus ils sont vraiment sympa. J'ai failli avoir une subaru legacy break pour 1000euro mais une allemande a été plus rapide que moi :)

Ho, un point important, les Nzdais sont vraiment accueillant, littéralement, un vendeur ou un chauffeur de bus etc vous dit toujours « hey salut ça va, ou comment va tu/aller vous, hey santé! », c'est plutot chaleureux! Par exemple, le premier jour apres m'etre perdu dans des quartier résidentiel j'ai demandé mon chemin à une dame de la 60ène, et apres m'avoir accompagné sur la bonne route elle m'a serré dans ses bras pour me dire aurevoir!

Le soleil tape fort ici, rien que les deux premièrs jour mon visage à cramé, je suis rouge comme une tomate, alors qu'il n'y avais pas eu un rayon de soleil, aujourd'hui le soleil était radieux, et sans vent je ne tien pas 2 minutes au soleil vue comme je suis déjà cuit, d'ailleur à ce sujet le vent est un piège. Il va falloir que j'adopte un chapeau ou des lunettes, ici c'est pas pour faire beau :)


vendredi 16 novembre 2007

Que fais-je ?


Dans la vie, nous aimerions tous savoir ce qu’il faut faire pour être heureux. Pour moi, le mot « faire » résume simplement la voie professionnelle que l’on à choisi de suivre pour être relativement heureux dans notre vie. Malheureusement, je ne vois aucun salut dans une quelconque carrière, alors le choix de mon métier n’est pour moi qu’un moyen de vivre ou survivre dans ce monde matériel, parce que l’on à pas d’autre choix, si toute fois l’on parle d’un choix doué de raison…

Dans la vie, je fais du service, service comme serveur, parce que les gens aiment parfois se faire plaisirs et manger quelque chose de bon au restaurant. Mais il y eu peu me revenu une ambition dont j’étais le seul à y croire, devenir para dans l’armée… Les sélections passées me voici lancé dans une épopée en ayant accès à l’instruction des commandos para, je m’étais intimement convaincu que j’irais jusqu’au bout, me mentant à moi-même chaque jours, et pourtant…

Et pourtant dès les premiers jours j’en avais mal au dos, en cause n’était pas mon sac à dos mais plutôt le poids moral de la contrainte et l’appréhension d’un avenir de servitude au nom d’une patrie, que j’aime malgré tout mais pour qui je ne donnerais pas ma vie.
Je ne suis pas un soldat qui fais la guerre pour la paix mais un guerrier qui fais de la paix sa quête. Tuer pour survivre, apprendre à devenir un tueur pour défendre son pays, je n’ai pas eu à aller jusque la pour avoir l’impression de faire reculer le monde. J’avais le sentiment immonde de me perdre moi-même dans des convictions qui n’était pas les miennes.

Alors je suis parti, avec certes des regrets, mais pas celui de ne pas avoir essayé.

Voulais-je vraiment devenir un Rambo ? C’était ça, se mentir à sois-même.


mercredi 14 novembre 2007

Qui suis-je?

J'ai 23 ans, je ne sais pas vraiment qui je suis. Je me contenterais bien de me dire simplement "je suis" mais je crois surtout que je suis perdu entre deux mondes.

Je suis atteind d'une maladie qu'on appel mélancolie, malgrès des années noires sans éspoir je lui dis merci car c'est elle qui ma pousser à sortire du noir histoire d'y voir un peu plus claire.

Aujourd'hui je ne sais pas mieux qui je suis si ce n'est ce que je ne suis pas, mais j'ai appris à apporter un peu de lumière dans ma vie graçe à la lecture et à la recherche, ne me demandez pas ce que je cherche car si je le savais je l'aurais trouvé.

Je coure après la vérité, je fais de ma vie ma quète, ma quète spirituel comme on dit vulgairement, malheureusement celle ci s'alimente au moin par la volonté, mais j'ai plus tendence à etre avachi par une tenacité blessé, titubant dans les méandre de la société...



Tantôt conscient et discocié d'un monde étiqueté de toute part, tantôt inconscient et sbire d'un mécanisme mentale, sociale, conssomable, je divague le plus souvant entre ces deux mondes, si l'on peut dire, car l'un en est un, mais l'autre n'en est pas un, il "est", c'est tout...